Avec sa guitare acoustique en bandoulière et ses rêves comme étendard, la nouvelle révélation folk Dinaa chante l’urgence d’une jeunesse combattante et militante. A 19 ans, elle possède la maturité de ces musiciens qui ont commencé à chanter dans la rue pour faire leurs premières armes. Chanter pour raconter des histoires, des rêves, des luttes. Chanter surtout parce que cela l’anime au plus profond de son âme.

Brute et envoutante, Dinaa interpelle dès la première écoute. Son premier album intitulé ‘Les rêves qui parlent’ est constitué de nombreuses pépites telles que Angoisse, une reprise très personnelle de A2H ou encore Lisa, une ôde à la féminité qui totalise déjà plusieurs millions d’écoutes sur les plateformes. A travers ses textes, l’artiste toulousaine nous plonge dans un univers à la fois onirique (Le chant des sirènes) et universel (Cauchemar). Elle y traduit avec authenticité le temps qui passe et les tourments que l’on traverse au cours de notre vie avec justesse.

Son écriture est portée par une voix incroyable, moderne et curieusement intemporelle, qui participe à l’enchantement qu’elle provoque. Dinaa est un diamant brut comme on en trouve peu en France de nos jours et personne n’y semble indifférent. Après avoir été sélectionnée pour les Inouïs du Printemps de Bourges, gagné le tremplin du Festival Rose, elle a été choisie pour faire la première partie de la tournée française des australiens Angus & Julia Stone. Cet automne, Dinaa poursuit son ascension sur scène, comme pour toucher un peu plus les étoiles.

On pourra la retrouver notamment le 31 aout au Festival Rose à Toulouse, le 16 octobre au MaMA à Paris, le 9 novembre à St Lo, le 29 novembre à Lyon, le 12 décembre à Montpellier et au Café de la Danse à Paris le 31 janvier.

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